Appelle-moi par ton nom, de André Aciman

couverture du livre

En Italie, la maison familiale accueille chaque été un universitaire. Cet été là le fils, Elio, vivra ses premiers émois avec Oliver, hôte charmeur et séduisant.

Il se passe très peu de choses dans la première partie du roman. Elio analyse chaque action, regard, parole d’Oliver, se sentant de plus en plus épris, alors qu’Oliver souffle le chaud et le froid. C’est long et exaspérant. La deuxième partie est un peu plus intéressant, il y a plus d’action.

Je sais que l’histoire est située dans les années 80 mais je n’ai pas aimé la manière dont les femmes sont utilisées comme « histoires parallèles », comme figurantes même dans la vie des personnages.

Déception aussi quand à la pauvreté des conversations des protagonistes. Ce sont des intellectuels mais tout ce qu’on sait c’est qu’Elio fait des transcriptions de partitions, qu’Oliver travaille sur une traduction. On a bien quelques poèmes à la fin mais c’est vraiment trop peu.

Bref, une déception et 2 étoiles.


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